En quête de sens

23 Mar 2024 | Coaching, Ressources Humaines

Comment (re)trouver du sens au travail ?

Mes clients viennent souvent avec cette question en tête. Le sens au travail est un sujet très diffusé aujourd’hui, et c’est presque une nouvelle injonction sociale qui vient s’ajouter aux nombreuses autres obligations auxquelles ont doit faire face…

Trouver du sens au travail serait la condition initiale pour que chacun.e puisse s’engager dans son activité et représente également une composante importante de la santé mentale.

Je suis partie à la recherche d’études sur ce thème, qui me tient à coeur, et je vous en livre une synthèse, qui je l’espère, vous aidera à y voir plus clair

Quête de sens, de quoi parle-t-on ?

Selon une étude de l’ANACT, la quête de sens au travail interroge le sentiment d’utilité, la concordance entre valeurs personnelles et professionnelles et les conditions de travail au sens large.

3 facteurs de sens principaux

  1. Le sentiment d’utilité sociale est décrit grâce à deux questions : « je fais quelque chose d’utile aux autres » et « Je suis fier(ère) de travailler dans cette entreprise (ou organisation) ».
  2. la cohérence (ou concordance) entre les valeurs personnelles et professionnelles et les conditions dans lesquels s’exerce le travail (la façon dont il est reconnu, les pratiques managériales, les relations de travail…)
  3. Mais le sens au travail est aussi une affaire collective. En effet, il ne s’agit pas pour les dirigeants de donner du sens à leur équipe, mais de construire le sens avec eux dans l’activité quotidienne, avec une vision claire et une stratégie porteuse de sens.
Les pistes d’action sont variées : elles peuvent conduire à redéfinir et partager la vision stratégique de l’entreprise, repenser l’équilibre entre contribution-rétribution, faciliter les prises de décision au plus près du terrain, développer l’égalité au travail, soutenir les coopérations ou encore repenser les parcours RH.
Elles doivent, dans tous les cas, permettre à chacune et chacun de pouvoir contribuer au travail collectif. « Le sens n’est pas le résultat d’une adhésion un peu mythique aux objectifs et à la culture d’entreprise », résume Thierry Rousseau, rédacteur en chef de la Revue des conditions de travail. « Il est lié à la reconnaissance du travail “ réel et vivant ” et à la reconnaissance de l’apport de chacun au fonctionnement de l’entreprise. Et pas seulement en parole… »

Ma méthode repose sur les principes de base du coaching professionnel :

  • une écoute centrée sur la personne et les relations humaines, pour l’accompagner dans la découverte de son soi profond et à s’accepter ainsi qu’à se développer (Carl ROGERS)
  • un questionnement qui permet à la personne de cheminer & d’avancer, par la définition d’un objectif et l’atteinte de celui-ci 
  • un climat de bienveillance et une confiance forte, basé sur le respect, le non jugement, la confidentialité, la liberté d’expression
  • des exercices pratiques autour des valeurs, des qualités, des limites à poser dans le respect des autres et de soi…
  • et d’autres outils peuvent être utiles selon les situations, chacun est unique et différent, le coach saura s’adapter à son client.

Le coaching peut être individuel ou équipe.

Le coaching professionnel que je vous propose, repose ainsi sur 4 axes cardinaux :

• Le premier axe est la dimension relationnelle : l’authenticité et la confiance.
• Le deuxième axe est la dimension contractuelle. Cette dernière est liée à la production d’un résultat chez le coaché et à une obligation de moyens chez le coach.
• Le troisième axe est la direction : la carte n’est pas le territoire. Il ne s’agit pas seulement d’atteindre un but, la démarche présente un intérêt en soi tangible pour le coaché.
• Le quatrième axe est celui de la co-élaboration: le partenariat. La dynamique relationnelle inscrit coaché et coach dans une attitude dialogique fondée sur le « donnant-donnant ».

Le coaching est centré sur le changement. La personne est d’emblée inscrit dans une recherche d’amélioration. À ce titre, le coaching est perçu comme un outil efficace d’évolution.

Dans mes accompagnements, je propose la boussole des 3 C :

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